Caair VI Pormr ras du chancelier Bacon, par ure grande defcription de l'Epinglier, qui eft dans Encyclopédie, &rc. il venoit de fe faire une querelle avec toute l'Italie , en par- fañt d’une maniere fort dédaigneufe de la littérature italienne dans la gazette littéraire de 176$ ; il y eut deux répon- fes imprimées, une à Rome par le P. Pozzi , & une d'un écrivain de Parme; on y citoit véritablement beaucoup de gens illuftres que M. Delaire avoit paf- fés fous filence, pour ne compter que fx perfonnes dignes d’être citées.
M. de Keralio, qui étoit alors gou- verneur du jeune prince, pofléde tous les genres de connoïffances qui étoient néceffaires pour lui donner la plus belle & la meilleure éducation ; art mi- fitaire, mathématiques, hiftoire', bel- Îes-lettres, avec des mœurs dignes de fa place; il eft auellement à Paris.
Le P. Fourcaud, Minime, connu par fon talent pour l’hiftoire naturelle, qui avoit Formé à Mäcon Île plus beau cabinet d'oifeaux, étoit auffi À Parme, occupé à formér an cabinet d'hiftoire naturelle. Ï eff mort, mais fon cabi- net eft à l’univerfités on admire la maniere dont les animaux y font pré-
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