Cr. XXIT. Deféript. de Florence, 415 de Jean de Pife, l'un des plus grands fculnteurs da quinzieme fiecie.
En entrant dans l’églife , on remar- que d'abord le pavé de matbre, defliné avec beaucoup d'art; la partie da fl au tour du chœur , fur fe fur les ddbns de Michel-Ange,
On a placé de deux côtés de l'éolife, les hommes illufires de la république ; à droite on voit la figure en Ma LbTÉ de Brunellefco, architcéte de la con pole de cette églile ; le portrait de Giot- to, un des premiers reftaurateurs de la peinture , mort en 1396 , avec deux épi- taphes , dont l’une cft de l’Aretin, nous rapporterons Pautre plus bas.
“us loin on voit Pierre Farnefe, gé- néral des Florentins, & Marclle Fin, qui ft revivre en Europe ja philofophis de Flaron.
À gauche Jon à mis un ancien por- trait du Dante, créateur de la poéñs itabenre; ce tableau à été placé par or- dre de la résrbiqi Æ de Florence ? c’eft le ful monument qu'ii ait dans fa patrie s fon tombeau eft à Kavenne . où il mourut en exil; mais l'Italie, à Yexemple du Pritance d'Athènes, a élevé par » Trou des cénoraphes ou tombeaux vides, c’eft-
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